J’ai (re)joué à Driveclub

J'ai (re)joué à Driveclub

Les événements PlayStation sont toujours une réussite. Alors quand il s’agissait du premier événement depuis l’Appartement 4 (pour moi en tout cas), je n’ai pas hésité une seule seconde à aller poser mes petites mains sur Driveclub, prochain titre de course automobile en exclusivité sur la console de Sony.

Ma PlayStation 4 arrive dans quelques jours, et c’est donc tout naturellement que je commence à prendre les devants. En attendant les Final Fantasy Type-0 HD, les Bloodborne et autres Metal Gear Solid V The Phantom Pain, et ayant apprécié Gran Turismo 5, je me suis dit qu’un petit jeu de voiture pouvait être intéressant.

Driveclub est à mi-chemin entre la simulation et l’arcade. Même si ce dernier point est davantage mis en avant, l’intérêt du jeu ne s’en trouve pas pour autant amoindri. Concernant la qualité graphique tout d’abord, la beauté du jeu va dépendre des environnements dans lesquels vous irez courir. Plus les effets lumineux seront de la partie, tel qu’un coucher de soleil, plus la qualité visuelle se fera sentir. Il est normal qu’apprécier la qualité des textures est difficile dans un jeu où les décors défilent à 60 images par secondes ; du coup, c’est la nuit ou à des moments de la journée à la lumière variante que l’on pourra apprécier les effets que le jeu propose.

La conduite, elle, ne semble pas si différente d’un Gran Turismo, si l’on fait exception des réglages pointus de ce dernier. Tout répond correctement et les sensations sont au rendez-vous. Si vous faites n’importe quoi, ne vous attendez pas à être remis-e sur le bon chemin automatiquement ou par une magie quelconque. De même, si vous accélérez trop fort lors d’une sortie de courbe ou d’un freinage brutal, vous patinerez et les vibreurs de la DualShock 4 vous le rappelleront. Cet aspect simulation qui resurgit est important pour la qualité du jeu.

Le jeu se décompose en plusieurs courses. Pas de monde ouvert mais une succession de challenges à accomplir pour obtenir des points de réputation. J’ai bien aimé le pourcentage d’accomplissement de la course qui s’affiche en temps réel dans le coin supérieur droit de l’écran. C’est tout bête, mais en un coup d’œil, on se repère. Nous évoluerons dans des courses situées dans différents pays : France, Belgique, Pays-Bas etc., et il y aura la possibilité de faire en sorte que le temps défile plus vite afin de commencer la course au petit matin et de la terminer au crépuscule. C’est idéal pour profiter des effets de reflets de lumières sur la piste ou les véhicules. Ces derniers d’ailleurs, pourront se salir, s’abîmer, mais sans jamais altérer la conduite. On retombe donc sur l’aspect arcade. D’ailleurs, les dégâts sont plutôt faibles visuellement. Mais quoi qu’il en soit, on est prévenus dès le début : Driveclub est à la croisée des chemin entre le monde de la simulation et de l’arcade.

Difficile de juger un jeu de voiture sur une si courte période. Difficile d’écrire des lignes à rallonge sur un jeu de voiture tout court, d’ailleurs. Ce que j’ai vu ne pas m’a pas déplu, et je pense pouvoir m’amuser un petit peu sur les circuits proposés. Reste à voir comment la communauté va accueillir le jeu, et si PlayStation poussera son titre pour l’organisation de concours de contre-la-montre ou quelque chose dans le genre.

Merci PlayStation France pour l’invitation ! Ces événements sont toujours une réussite !

Driveclub sera disponible dès le 8 octobre 2014, en exclusivité sur PlayStation 4.

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